Il ne subsiste de ce chêne nord-américain centenaire que la base de son tronc coupé au ras du sol. Les grands arbres de nos parcs ne sont pas immuables.
Le faux-noyer du Caucase est l’un des « monuments » du Jardin botanique avec son tronc dépassant 5 mètres de circonférence et sa large couronne de branches horizontales.
L’histoire de ce tilleul est bien obscure. Il s’agit d’un hybride probable entre le tilleul du Caucase (Tilia dasystyla) et le tilleul à petite feuille (Tilia cordata).
Cette essence est issue du croisement entre le platane d’Occident (Platanus occidentalis) originaire de l’est des USA et du Mexique et le platane d’Orient (P. orientalis) qui pousse des Balkans au proche Orient.
Cet arbre est un hybride issu du croisement entre le marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum) originaire des Balkans et le pavier rouge (Aesculus pavia) natif du Sud-Est des États-Unis.
Le hêtre au feuillage pourpré est très commun dans les parcs en raison de son intérêt décoratif. Chez cet arbre, la chlorophylle qui confère aux feuilles leur couleur verte est masquée par d’autres pigments comme les anthocyanes.
Ce noyer est natif de la moitié Est des États-Unis. C’est un arbre splendide, très rustique, pouvant atteindre 30 mètres de hauteur et dont le feuillage se colore souvent en jaune à l’automne.
Ce conifère est aisément reconnaissable à sa silhouette élancée et colonnaire. Dans son pays, il fut employé pendant des siècles par les populations amérindiennes dans leur vie quotidienne.
Cet arbre appartient à un groupe (les ginkgoales) apparu sur terre il y a près de 270 millions d’années. Au moment de leur apogée au Jurassique et au Crétacé inférieur (-200 à - 100 millions d’années) plusieurs espèces de Ginkgo poussaient sur la terre entière.